1. BOULIC, Jean-Yves, Ceux qui croient au Ciel et ceux qui n’y croient pas. 16 hommes et femmes politiques face à Dieu. (Paris, Bernard Grasset, 2002), p. 330.

 

2 Ibid, p.l30.

 

  1. EINSTEIN, Albert, Comment je vois le monde. – Paris, Flammarion, 1934, réédité en 1988 et 2002 dans la collection « Champs ». Voir aussi, du même auteur: Conceptions scientifiques, morales et sociales, trad. de l’anglais par M.Solovine, Flammarion, 1952.

 

  1. JUNG, Carl Gustav, Erinnerungen, Traüme, Gedanken. – Zurich /Stuttgart, Rasher, 1962. Trad. franç.de R.Cahen et Y.Le Play, sous le titre: Ma vie. Souvenirs, rêves et pensées, recueillies et publiées par Aniéla Jaffé.- Paris, Gallimard, 1973, cité ici d’après cette trad. p.334.

 

  1. BURR,Harold S., Bio-electric Correlates of Development, dans : Amblystoma.. Yale Journal of Biology and Medecine, IX, 1937, 531 ss. Repris dans son livre Blueprint for lmmortality. London, Neville Spearman, 1972 .. Voir aussi les travaux d’un savant français, Jean E. Charon: L’Esprit, cet inconnu.- Paris, Albin Michel, 1977 et, du même: J’ai vécu quinze milliards d’années. Albin Michel, 1983.

 

  1. OSTRANDER,S.& SCHROEDER, L., Psychic Discoveries behind the IronCurtain. Englawood,Prentice

. Hall, 1970. Trad.fr.de Anne Owens et R.Olcina: Fantastiques recherches parapsychiques en UR.S.S. – Paris, R.Laffont, 1973 (Les énigmes de l’Univers). D’autres méthodes permettent également la détection du corps énergétique. Voir: dr J. Fontaine, La médecine du corps énergétique. Une révolution thérapeutique- Paris, R.Laffont, 1983. Voir aussi plus loin la bibliographie.

 

  1. OSTRANDER& SCHROEDER, op. cit., p. 297.

 

  1. Si subtil soit-il, le corps énergétique, composé d’ondes vibratoires, de champs électro-énergétiques et de particules élémentaires stables, paraît tant soit peu tributaire de la matière, tandis que notre moi pensant, autrement dit notre âme, souffle spirituel, ne l’est pas.

 

  1. OSTRANDER & SCHROEDER, op.cit., p.302.

 

  1. BRUNE, Fr. & CHAUVIN, R., A l’écoute de l’au-delà, p.l6.- Paris, Ed. du Félin, 1999, reéd. par France Loisirs, 2000.

 

11.Voir aussi plus loin la bibliographie sommaire.

 

  1. WATSON, Lyall, The Romero Error, A Matter of the Life and Death. – London, Hodder & Stoughton, 1974, Trad, ft, de R, Genin: Histoire naturelle de la vie éternelle ou l’erreur de Romeo, Paris, Albin Michel, 1976,

13 . GENEVOIX, Maurice, La mort de près. (Paris, Plon, 1972).pp. 138-139

 

  1. WATSON, L., op. cit., p. 199.

 

  1. JUNG, C. G. op. cit., p. 332

 

  1. JUNG, C. G. op. cit., p. 334

 

  1. Voir note 7

 

  1. L’ancien prix Nobel John C.Eccles a repris et précisé la question dans un livre publié d’abord en anglais, puis traduit en français : « Evolution du cerveau et création de la conscience » (Paris, Fayard 1992). La Presse n’en a presque pas parlé comme s’il s’agissait d’un sujet tabou.

 

  1. De nombreux cas seront cités et peuvent être trouvés dans les ouvrages des docteurs Saloom, Moody, Osis, Haraldsson, etc.

 

  1. GRASSE, Pierre-Paul, Toi, ce petit dieu ! essai sur l’histoire naturelle de l’Homme. Paris, Albin Michel, 1971, p.229

 

  1. GRASSE, P.-P., Biologie moléculaire, mutagénèse et évolution. Paris, Masson, 1978 (Les grand problèmes de la biologie. Monographie, 13).

 

  1. JUNG, C. G. op. cit., p. 333

 

  1. MOODY, Raymond, Life after life, Covington, 1975. Trad. Française : La Vie après la vie, Paris, R. Laffont, 1977, p.67

 

  1. MOODY, R. ibid., p.42

 

  1. JUNG, C. G. ibid., p. 334

 

  1. CARLES, Jules, Lettre du 7 déc.1989 (Collection personnelle)

 

  1. GREGOIRE, François, L’au-delà, Paris, PUF, 1977 (Que sais-je ? n°725), cité p.117.

 

  1. LHERMITTE, J., Vrais et faux possédés, Paris, Bloud, 1956.

 

  1. MOODY, R.A., & PERRY, Paul, Life before Life, Londres, 1990. Trad. Française de C. VLERICK : Voyages dans les vies antérieures, Laffont, 1990 ( Les énigmes de l’Univers), cité pp.225-226.

 

  1. PRIEUR, Jean. Les témoins de l’invisible. Préf. De gabriel Marcel. Paris, F.lanore, 1981, p ;156.

 

  1. VAN EERSEL, Patrice, La Source noire. Révélations aux portes de la mort. Paris, Grasset, 1986 ( Le livre de poche 6358) p.27

 

  1. TRESMONTANT, Claude, Comment se pose aujourd’hui le problème de l’existence de Dieu ? Paris, Ed. du Seuil, 1966. Réed en 1971 (Livre de Vie, 108), p.222.

 

  1. PETIT, P. François, Le problème du mal. Paris, Fayard, 1958, pp.82-83

 

  1. FERRY, Luc. Qu’est-ce qu’une vie réussie ? Paris, Grasset, 2002, p.21 ( Livre de poche, 30244).

 

  1. MOODY,R., La Vie après la vie…,p.113

 

  1. VAN EERSEL, Patrice, op-cit., p.27

 

  1. TIZANE, Emile- Voir bibliographie

 

  1. FLAMMARION, C., La mort et son mystère (A.310), pp.231-233

 

  1. LAURENTIN, René & Dr P.MAHEO, Bilocations de Mère Yvonne-Aimée – Edition critique en référence à ses missions. Nouv. Ed. Paris, F.X de Guilbert, 1995.

 

  1. LE MOEL, Gilbert – Dieu dans le métro. Paris, Eidtions Ouvrières, 1973, pp.48-49 ; réédité aux Editions de l’Atelier, 1993.

 

41 JAFFE, Aniéla. Apparitions, fantômes, rêves et mythes. Paris, Mercure de France- Le Mail, 1983

 

  1. MOODY,R., La Vie après la vie…,p.87 et passim

 

  1. MOODY,R., Lumières nouvelles…,p.46-47

 

  1. MOODY,R., La Vie après la vie…,p.97

 

  1. Où est Dieu? Voici une curieuse réponse parue dans L’Intermédiaire des chercheurs et des curieux (Paris) de 1966, col. 505-510, signée P.V. Du: « L’homme est tellement lié à l’espace que même la conception logique d’un hyperespace ne peut exister qu’en référence aux notions spatiales usuelles. L’espace est comme l’aquarium dans lequel nous vivons sans même soupçonner l’existence des parois, encore moins leur nature.

Par sa seule expérience spatiale l’homme est radicalement incapable aussi bien de nier que d’affirmer l’existence de modes d’être totalement indépendants de l’espace: c’est admettre leur possibilité ( … ) Le mode d’être de Dieu implique qu’il soit tout entier présent à tous les êtres créés par lui. En exprimant ce fait pour notre monde et en disant que Dieu est partout, nous risquons d’attribuer à Dieu une structure spatiale qu’il n’a pas, si nous ne précisons pas que ce partout n’a un sens multiplicatif que du côté de la barrière qui est la nôtre ».

  1. Eternel ? A la fin des temps, restera-t-il encore beaucoup de monde éloigné de Dieu? « Si, écrit A. Frossard, les êtres qui ont eu par lui dans leur vie un acte de charité, quand ils n’en auraient eu qu’un seul, ne fût-ce qu’un regard de pitié pour un chien, pouvaient disparaître à jamais, il faudrait supposer que Dieu peut perdre quelque chose de son amour, ce qui est impensable pour la simple raison qu’il est un et ne se détaille pas. Qui pratique la charité, pratique l’existence de Dieu, même s’il ne la connait pas » (A.Frossard, Il y a un autre monde, Fayard, 1976).

 

  1. MOODY,R., Lumières nouvelles…,p.70-72